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 Osamu Tezuka: le dieu du manga

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Benku
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Benku


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MessageSujet: Osamu Tezuka: le dieu du manga   Osamu Tezuka: le dieu du manga Icon_minitimeLun 19 Mar - 19:28

Voila un tout nouveau principe de topic, le but est présenté un auteur de manga, ou réalisateur d'animé.
En gros ce qu'il a fait sa vie, ses oeuvres, etc ...

Pour commencer, je vais vous présenter Osamu Tezuka, qu'on nomme même le dieu du manga.

Nom de naissance: Osamu Tezuka
Née le: 3 novembre 1928, à Toyonaka, Japon
Mort: 9 février 1989 à 60 ans
Osamu Tezuka: le dieu du manga AVT_Osamu-Tezuka_342

Osamu Tezuka (手塚 治, Tezuka Osamu?), né le 3 novembre 1928 à Toyonaka, dans la préfecture d'Ōsaka, et mort le 9 février 1989 à Tōkyō, est un mangaka et un animateur, character designer, producteur et scénariste d'anime, travaillant sous le pseudonyme homophone 手塚 治虫 (dont la lecture osamushi (治虫) rappelle le nom japonais d'un insecte : osamushi (筬虫)) [1].
« Les visiteurs étrangers ont souvent du mal à comprendre pourquoi les Japonais lisent autant de mangas. Une explication de la popularité de ces bandes dessinées japonaises dans notre pays est que le Japon eut Tezuka Osamu, là où d’autres nations n’eurent aucun équivalent. Sans le docteur Tezuka, l’explosion de la bande dessinée dans le Japon d’après-guerre eut été inconcevable. », indique le célèbre quotidien Asahi Shinbun[2].
Sacré au Japon « Dieu du manga », Osamu Tezuka demeure à jamais un grand auteur populaire. Un homme ayant influencé de manière décisive la destinée d’un art (l’animation), d’une industrie (les mangas) et d’une culture[3].
Au cours de sa carrière, il va adapter, réinventer et rendre de vibrants hommages à des mythes cinématographiques et littéraires aussi divers que Pinocchio, Blanche Neige, Faust, les chroniques futuristes de Isaac Asimov, Crime et Châtiment de Dostoïevski.
Son œuvre adopte souvent des allures de méditation sur la nature et la destinée humaine. L’auteur y exprime le souci constant de véhiculer de mille façons différentes un message sous-tendu par quatre caractéristiques majeures: le respect de l'environnement naturel, le respect de la vie et de toutes les créatures vivantes, un profond scepticisme envers la science et la civilisation, et un solide engagement pour la paix et contre la guerre.
Sa force de création est colossale : plus de 150 000 pages dessinées au cours de sa carrière. Il a signé 700 œuvres, réalisé une vingtaine de séries animées et autant de téléfilms animés et de longs-métrages d'animation. Plus de 120 millions de mangas ont été vendus depuis sa disparition en 1989.
Il fonde les studios Mushi Productions puis Tezuka Productions. Les premières séries animées réalisées à un rythme soutenu y sont expérimentées et mises en images. De même, y sont conçues successivement la première série animée japonaise avec une diffusion hebdomadaire (Astro Boy, 1963) et la première série en couleurs (Le roi Leo, 1965). Ces studios ont également formé un grand nombre de talents.
Un prix, le prix Tezuka, existe depuis 1971 et a pour but de récompenser les talents d'un mangaka pour une œuvre dont le scénario est particulièrement intéressant.

Biographie:

Osamu Tezuka est né le 3 novembre 1928 à Toyonaka, dans la préfecture d'Ōsaka. Chose rare pour l'époque, son père possédait un projecteur de films. Les œuvres de Charlie Chaplin et de Disney ont fait très tôt partie de la culture cinématographique du garçon. Très jeune, il est marqué par la vision des dessins animés de Walt Disney et il voue une affection toute particulière au film Bambi. L'influence de Disney apparaît dans le style graphique de Tezuka, rond, généreux et franc. Il donne aussi à ses héros de grands yeux enfantins et très expressifs, en écho au style de Disney. Cette caractéristique sera reprise ensuite par de nombreux dessinateurs japonais.
La famille de Tezuka s'établit dans la ville de Takarazuka alors que Osamu est âgé de 4 ans. Ce dernier y reste une vingtaine d’années. L’environnement naturel de la région de Takarazuka a sans doute joué une grande influence sur la passion de Tezuka pour la nature. Sa fascination pour les insectes est née là-bas, alors qu’enfant, il parcourt les alentours.
Sa mère l’introduit très jeune à la vie artistique très riche de la ville, réputée pour son théâtre et sa revue. La Takarazuka Revue est un mouvement moderne de théâtre. En opposition au théâtre traditionnel japonais joué exclusivement par des hommes, occupant tous les rôles, même ceux des personnages féminins, la revue de Takarazuka ne fait jouer que des femmes.
Enfant, il ne cesse de dessiner et gagne l'admiration de ses camarades de classe en reproduisant leurs héros de mangas préférés. Il publie très jeune ses premiers mangas en 1946, et décroche à l'âge de 17 ans une place de rédacteur permanent pour un quotidien où sa première bande dessinée professionnelle est éditée, Le Journal de Ma.

Médecine, Manga et cinéma
En parallèle à sa profession de dessinateur, il suit des études de médecine à l'Université d'Ōsaka. On retrouve des traces de cette formation dans son œuvre, particulièrement dans son manga Blackjack (1973), mettant en scène un chirurgien à gages, qui exerce dans l'illégalité. Le personnage du scientifique est une figure que l'on rencontre couramment dans son œuvre. Docteur en médecine: Nara Igaku Zasshi :Vol.11 n.5, pp.719-735 (1960)
Dans un Japon détruit par la guerre, Tezuka rencontre le succès dès 1947, grâce à un manga appelé La Nouvelle Île au Trésor (Shin takarajima). Ce titre se vend à ce moment à plus de 400 000 exemplaires, un best-seller. Il mène alors une vie partagée entre la création artistique pour des magazines et ses études. Il travaillera aussi ensuite en tant que critique de cinéma. Il rencontre à cette époque le jeune Yoshihiro Tatsumi qu'il conseille, et qui deviendra plus tard le créateur du gekiga, démarche que Tezuka désapprouvera[4].
En 1952, Osamu Tezuka donne naissance à un héros qui marquera des générations de japonais : Astro Boy (Tetsuwan Atom). Un petit robot, crée le 7 avril 2003 dans un monde futuriste, ayant l'apparence d'un jeune garçon. Détenteur de grand pouvoirs, sérieux malgré son apparence et fondamentalement bon, ce personnage est un défenseur de la paix. « À la fin de la guerre, en 1945, le Japon était ruiné. Les enfants n'avaient rien à manger, explique Tatsuya Matsui, designer du robot enfant Posy. En 1952, ils ont découvert Astro Boy et les mangas de Osamu Tezuka. Astro Boy a alors apporté au pays une dose d'espoir et d'énergie impensable. Les ­enfants se sont remis à rêver. Astro Boy a influencé de nombreux futurs concepteurs de robots. Moi le premier ! »[5]
Le style de Tezuka rencontre un franc succès en raison des éléments nouveaux qu'il introduit dans ses planches de mangas. Il adopte en effet un découpage cinématographique et un style précurseurs, se jouant des cases de bande dessinée avec beaucoup d'intelligence et de malice. Il est de ce fait présenté comme le père du manga moderne, mais sa contribution à l'art nippon ne s'arrête pas à ce domaine.
La Villa Tokiwa

Dans les années 1950, pour les besoins de son travail de mangaka, l'auteur s'entoure d'une équipe de dessinateurs pour l'assister dans ses travaux. En 1953, il s'installe pour travailler à Tokyo sur la recommandation d'un éditeur, dans une petite maison de bois appelée Tokiwasō (la villa Tokiwa) où il travaille avec son équipe. Tokiwasō « s'apparente à une sorte d'atelier de la Renaissance, où le maître donne les directives pendant que les « apprentis » font les décors, les trames et le travail de documentation » [6]. Cette bâtisse deviendra célèbre pour avoir abrité depuis une succession d'artistes.
Mushi Productions et Tezuka Productions

En 1962, il fonde ses propres studios d'anime, Mushi Productions.
Mushi signifie insecte en japonais, Tezuka leur voue une véritable passion. Son pseudonyme, 治虫, est d'ailleurs constitué de 治, son vrai prénom, auquel est accolé 虫, qui est le kanji pour mushi (mais qui, ici, se fond dans le kanji précédent, conservant la prononciation Osamu).
Ils lui donnent l'indépendance nécessaire pour mener ses recherches sur les techniques de l'animation. Des courts métrages expérimentaux sont ainsi réalisés. Le succès rencontré par les œuvres permettront au studio d'employer de jeunes talents, comme Osamu Dezaki ou encore Hayashi Shigeyuki, célèbre sous le pseudonyme Rintarō, qui intègre le studio en 1962.
La force d'innovation de Tezuka lui permet de concevoir la réalisation d'épisodes de séries animées à un rythme hebdomadaire ; un concept et surtout une technicité qui sont très vite adoptés par les plus grands studios et sont à l'origine des séries animées actuelles, pour le meilleur comme pour le pire.
Tezuka est ainsi à l'origine de la première série animée japonaise diffusée hebdomadairement (Astro Boy en 1963), qui narre les aventures animées du robot aux allures de garçon qu'il avait créé en bande-dessinée.
Il est aussi l'instigateur de la première série japonaise en couleurs (Le Roi Leo en 1965), adaptation animée d'une autre de ses œuvres phares.
Entré en 1962 au studio, Rintarô a travaillé sur la série Astroboy et sur celle du Roi Léo et se rappelle le challenge technique et narratif que représentait leur conception. « On insistait constamment sur la rapidité. Chaque histoire devait fonctionner sans temps mort. Pour y parvenir, il nous fallait surmonter de nombreuses contraintes. A la télévision, l'écran est si petit que les plans d'ensemble ne fonctionnent quasiment pas. Il faut donc enchaîner les gros plans rapides pour que le résultat ait un impact. De plus, les épisodes sont sans cesse interrompus par des publicités, elles mêmes montées très "cut". Il est donc nécessaire de fonctionner au diapason. » [7]
Les studios Mushi font faillite en 1973 et renaissent de leurs cendres en 1980 sous un nouveau nom : l'actuel Tezuka Productions.
Il supervise dans ses studios l'animation de plusieurs séries originellement publiées en mangas : Princesse Saphir, Le Roi Leo, Astro.
Osamu Tezuka est aussi l'auteur de nombreux courts et moyens métrages animés inédits, notamment des films expérimentaux comme Jumping (1984). La Légende de la forêt (1987) se veut un hommage musical et visuel au cinéma de Disney et un clin d'œil rendu à la fin de sa vie sur l'évolution des techniques du cinéma d'animation.

La disparition du maître, la vie d'une œuvre et d'un studio



Affaibli par le cancer, son matériel de dessin ne le quitte pas, même dans sa chambre d'hôpital et il poursuit les projets qu'il a entamés (une biographie de Beethoven en manga, l'adaptation animée de la Bible) jusqu'à sa mort en 1989.
Des funérailles nationales sont organisées en son honneur.
Il laisse une œuvre majeure de la bande-dessinée qui, au-delà de ses qualités techniques, demeure intemporelle, visionnaire, généreuse et humaniste. Et si Tezuka indique qu'il y a dans l'histoire de l'animation « un avant et un post-Disney », force est de constater qu'il y a un avant et un après Tezuka également.
Le studio Tezuka Productions gère désormais le patrimoine du maître et veille à adapter régulièrement ses œuvres sur écran avec le concours de nouvelles générations d'animateurs. C'est ainsi que Black Jack a connu de toutes nouvelles aventures en version animée par Dezaki sous la forme de thrillers médicaux. Son manga Metropolis, inspiré des images qu'il avait vues du film homonyme de Fritz Lang a été adapté en long métrage d'animation en 2001 par Rintarō, l'un de ses disciples, formé dans ses studios.
En 2003, des événements ont été organisé par le studio autour de la figure d'Astro Boy, dont la date de conception imaginée par Tezuka est le 3 avril 2003. Les studio Tezuka Productions ont autorisé le mangaka Naoki Urasawa (prix Tezuka) à laisser libre court à ses talents de dessinateurs et de concepteurs de thrillers pour rendre hommage au petit robot dans une aventure particulièrement périlleuse. Le manga est intitulé Pluto, en référence au dieu romain des enfers Pluton. Le scénario est fondé sur une histoire de Tezuka qui avait particulièrement plu à Urasawa quand il était enfant.
En 2009, un remake de la série de 1989 du roi Léo a été produit à l'occasion du 50ème anniversaire de Fuji TV. Il réunit des artistes de renom : Gorō Taniguchi pour la réalisation, un scénario de l'écrivain Osamu Suzuki, et au nombre des characters designers le peintre Yoshitaka Amano[8].
Un musée consacré à l'œuvre Tezuka a été créé à Takarazuka, la ville où il a passé son enfance. Ce musée a été inauguré en avril 1994. La vie de l'auteur est retracée le long d'un parcours, dans une salle pleine de grandes capsules transparentes et futuristes abritant les données de l'exposition. À l'extérieur, le public découvre un Walk of Fame amusant, les empreintes des différents personnages étant imprimées dans le béton.
La gare de Kyoto lui rend également hommage : outre un mini-cinéma et un mini-musée, on y trouve un magasin de produits dérivés de ses créations. Plus symboliquement, ses héros les plus familiers apparaissent en haut des panneaux indicateurs, et une horloge à l'image du Phénix rappelle que la vie d'un homme sur Terre est bien courte et qu'il ne tient qu'à lui d'accomplir de grandes choses.

Ses oeuvres sortie en france:
Œuvres traduites en français:
Par ordre chronologique de publication en français avec, entre parenthèses, la date de publication au Japon.

  • Astroboy (1952-1968) :

    • Glénat, coll. « Manga », 12 volumes, 1996-2000.
    • Kana, coll. « Sensei », 5 volumes (anthologie), 2009-20??.

  • Le Roi Léo (1950-1954), Glénat, 3 volumes, 1996-1997.
  • Blackjack (1973-1983) :

    • Glénat, 12 volumes, 1996-2000.
    • Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 17 volumes, 2004-2006. Chez le même éditeur : Blackjack, le médecin marron, coll. « Shônen », 3 volumes, 2006.

  • La vie de Bouddha (1974-1984), Tonkam, coll. « Tsuki Poche », 8 volumes, 1997-1999.
  • L'Histoire des 3 Adolf (1983-1985), Tonkam, coll. « Tsuki Poche », 4 volumes, 1998-2001.
  • Le Cratère (1969-1970), Tonkam, 2 volumes, 2000.
  • Phénix, l'oiseau de feu (1956-1989), Tonkam, coll. « Tsuki Poche » 11 volumes, 2000-2002.
  • Ayako (1972-1973), Delcourt, coll. « Akata », 3 volumes, 2003-2004.
  • MW (1976-1978), Tonkam, 3 volumes, 2004.
  • Nanairo inko (1981-1983), Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 5 volumes, 2004.
  • L'Arbre au soleil (1981-1985), Tonkam, 8 volumes, 2004-2006.
  • Princesse Saphir (1953-1957), Soleil Productions, coll. « Soleil Manga », 3 volumes, 2005.
  • Vampires (1966-1969), Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 3 volumes, 2005.
  • Unico (1976-1979), Soleil Productions, coll. « Soleil Manga », 2 volumes, 2005.
  • Barbara (1973-1974), Delcourt, coll. « Akata - Ginkgo », 2 volumes, 2005.
  • Metropolis (1949), Taifu Comics, coll. « Taifu Classic », 2005.
  • Kirihito (1970-1971), Delcourt, coll. « Akata - Ginkgo », 4 volumes, 2005-2006.
  • Prince Norman (1968), Cornélius, coll. « Paul », 3 volumes, 2005-2006.
  • L'Enfant aux trois yeux (1974-1978), Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 8 volumes parus, 2005-2007.
  • Dororo (1967-1968), Delcourt, coll. « Akata - Ginkgo », 4 volumes, 2006.
  • Les Enfants de saphir (1958-1959), Soleil Productions, coll. « Soleil Manga », 1 volume, 2006.
  • Histoires pour tous (?), Delcourt, coll. « Akata », 18 volumes parus (20 prévus), 2006-2011.
  • I.L (1969-1970), Casterman, coll. « Sakka », 2006.
  • Hato (1964-1967), Cornélius, coll. « Paul », 3 volumes, 2006-2007.
  • Avaler la terre (1968-1969), Milan, coll. « Kanko Classiques », 2 volumes, 2006.
  • Don Dracula (1979), Soleil Productions, coll. « Soleil Manga », 2 volumes parus, 2006-2007.
  • Ludwig B. (1987-1989), Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 2 volumes parus, 2006-2007.
  • Demain les oiseaux, Delcourt, 1 volume, 2006.
  • La légende de Songoku (1952-1959), Akata, 4 volumes parus. 2006-2008.
  • Tonkaradani (1953-1957), Milan, 1 volume, 2007.
  • Midnight (1986-1987), Asuka, coll. « Le meilleur d'Osamu Tezuka », 4 volumes parus. 2007-2008.
  • Triton (1979), Soleil Productions, coll. « Soleil Manga », 3 volumes parus, 2007-2008.
  • Lost World (1948), Taifu Comics, coll. « Taifu Classic », 2007.
  • Next World (1951), Taifu Comics, coll. « Taifu Classic », 2007-2008.
  • Le château de l'aurore (1959), Cornélius, coll. « Paul », 1 volume, 2008.
  • Kaos (1978), Cornélius, coll. « Paul », 3 volumes, 2008-2009.
  • Ikki Mandara (1979), Kana, coll. « Sensei », 1 volume, 2008.
  • Gringo (1987-1989), Kana, coll. « Sensei », 1 volume, 2009.
  • Shumari (1974), Tonkam, 4 volumes, 2007-2008.
  • La femme insecte (1970), Casterman, coll. « Sakka », 1 volume, 2009.
  • Debout l'humanité ! (1967-1968), FLBLB, 1 volume, 2011.
  • Sous notre atmosphère (1972), Éditions H, coll. « Manga », 1 volume, 2011.
  • Alabaster (1978), FLBLB, 1 volume, 2012.
  • Le Chant d'Apollon (1977), Kana, coll. « Sensei », 1 volume, 2012.
Adaptations et productions[modifier]
Séries TV


  • Astro / Tetsuwan Atom, 3 séries : 1963, 1980, 2003)
  • Le Roi Léo / Jungle Taitei 3 séries : 1966, 1972 (Shin Jungle Taitei Susume Leo), 1989
  • W3 / Wonder 3, 1965
  • Princesse Saphir / Ribbon no kishi, 1967
  • Les Aventures de Goku / Goku no Daibouken, 1967
  • Dororo / Dororo to Hyakumaru, 1969
  • Fushigi na Merumo, 1972
  • Triton of the Sea / Umi no Triton, 1972
  • Jetter Mars, 1977
  • Fumoon (Nucléa 3000), 1980
  • Don Dracula, 1982
  • Magie Bleue / Aoi Blink, 1990
  • Magma Taishi, 1993
  • Tezuka Osamu no Kyuuyaku Seisho Monogatari - In the Beginning, 1997
  • Black Jack, 2004
  • Hi no Tori, 2004
Films

Filmographie sélective

  • Saiyuki (西遊記 « pérégrination vers l'ouest », traduit en anglais par Alakazan the Great) 1960, son premier long métrage, une adaptation de xiyouji (西遊記 Le Voyage en Occident), racontant l'épopée légendaire chinoise de sunwukong (孫悟空, son-goku en japonais), le roi singe. Les studios d'animation de Shanghaï avait déjà produit un long métrage sur le même thème, (铁扇公主, noir et blanc, 1941) et en ont produit un autre (大闹天宫 da nao tiangong, couleur, 1964). Tezuka dessinera une illustration avec le Sunwukong du film de 1964 et Astro en hommage au travail des animateurs de Shanghaï.
  • Histoires du coin de la rue (moyen métrage), 1962
  • La sirène (court métrage), 1964, 8 min
  • La goutte (court métrage), 1965, 4 min
  • Tableaux d'une exposition (recueil de courts métrages), 1966
  • Les Mille et Une Nuits (long métrage), 1969
  • Cléopatre / Kureopatora, (long métrage) 1970
  • Le Prince du soleil / Hyakumannen Chikyû no Tabi Bander Book, 1978
  • Mam'zelle Tom Pouce / Andersen dowa Oyayubi-hime, 1978
  • Phénix, l'oiseau de feu / Hi no Tori 2772 - Ai no Cosmozone (long métrage), 1980
  • Le film cassé (court métrage), 1985, 6 min
  • Le saut (court métrage), 1985, 6 min
  • La Légende de la forêt (court métrage), 1988[29]
  • Princesse Saphir / Ribbon no kishi, 1994
  • Metropolis, 2001, Tezuka Production, Réalisation : Rintaro,
Adaptations

  • Astroboy - Le Film 3D, 2007/2009, film d'animation américain, réalisation : David BOWERS,
  • Dororo, Film Live, 2007
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MessageSujet: Re: Osamu Tezuka: le dieu du manga   Osamu Tezuka: le dieu du manga Icon_minitimeVen 23 Mar - 14:23

Waw c'est vraiment très complet, merci beaucoup !
C'est assez impressionnant de voir une liste aussi grande oeuvre, enfin ça explique son surnom !
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